Trishka, Houba’s minimoy, déjà ado ?

Trishka’s marraine et sa moitié sont venu passer quelques jours avec nous, l’occasion de s’enivrer de câlins  (4 mains de plus ce n’est pas négligeable) et de faire des séances d’approche de baignoire. La coque elle-même n’étant pas suffisamment attirante pour vaincre les réticences qu’elle inspire (malgré les 35° à l’ombre) Marraine a utilisé l’irrésistible passion que la marsuchiote voue au tuyau d’arrosage pour attirer la damoiselle dans le bain.

On peut dire qu’elle (marraine hein, pas Trishka. Vous suivez ? :D) a payé de sa personne : en maillot, accroupie dans la coque, aussi mouillée que la filleule, sinon plus.  À force d’éclaboussage et d’encouragement, Trishka a mis les 4 pattes !

Une séance ostéo a interrompu la progression quotidienne (repos obligatoire)  A ce jour, Quand la baignoire est remplie (en cachette pour éviter l’excitation) Trishka consent à y poser les coussinets, quand à s’y assoir c’est du bout des fesses et encore (sans tremper le tire-bouchon), s’y coucher NON et les garçons refusent de montrer l’exemple, particulièrement Houba : des fois que la bouteille de shampoing ne soit dissimulée – on n’est jamais trop prudent –

Adieu leçons de mots fléchés et rab de promenades  Marraine et sa moitié repartent.

Un soir, nous rentrons de sortie, et , des traces de sang sur le carrelage … Trishka aurait elle ses premières châleurs ? inspection de la gente canine au complet et c’est zébulon(e) junior , dont la vulve est normale, qui a saigné d’une griffe. Désinfection. Le lendemain tout est ok MAIS, était ce une prémonition ? un signe ? 2 jours plus tard, nouvelles petites tâches qui n’ont aucun rapport avec la région coussinet ☹ Voilà, on a tout d’une grande, 28 juillet début d’une micro galère (qui a peut être débuté avant) ? en tout cas d’une surveillance active et de la réactivation de l’artillerie serpillères-désinfectant-balais éponge, en attendant les couches culottes jetables – qui finalement serviront très peu compte tenu de la forme très particulière et peu coopérante de la queue des Appenzell.

Un peu moins de 2 semaines cool, (les mâles de la maison la reniflent consciencieusement mais elle ne les en empêche pas, et, nous ne sommes pas harcelées par une bande de poilus avec un trop plein de testostérone en promenade ou devant le portail)  Voila que je stresse : balader ou pas balader ? avec la grande longe et une couche culotte pour elle (très pratique pour arroser l’herbe) et la mini bombe  « pet corrector » en poche plus une canne pour moi ? ou bien se limiter aux journées club (terrain clos et femelles only). Les gouttes s’espacent, Houba et Jack ont l’air moins intrigués, la vulve est moins gonflée, mais n’est ce pas justement la semaine de tous les dangers ? On s’en tient au club, donc.

Plus sensible ? pas vraiment, l’option ne fait pas partie de l’adorable lot ! Par contre, A l’aube de ses 9 mois, Mademoiselle des Sources de Féanor teste sa dentition, ou plutôt affute ses crocs, pas sur les chaussures, ni sur le canapé, plus sur leur lit, non, sur les MURS !!!

ça ne se passe pas la nuit (on verrait les traces le matin) pas lorsqu’on est présents :D, alors, quand ? lorsqu’on sort ? et que fait (font ?) elle (ils ?) des morceaux ??

Est-ce vraiment elle ? Ne serait-ce pas Jackouille la fripouille lorsqu’on va au club sans lui ? pourtant c’est bien elle qui avait dévoré les lits en skaï ? Plâtre et peinture en perspective, heureusement que nous avons un super copain bricoleur de compétition ! Programme observation sherlockholmesque de la troupe .. vous aimeriez savoir ? nous aussi donc  !… à suivre

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