Houba, bouvier d’Appenzell a le pied marin
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admin
·
18 juin 2013
J + 1 nous partons pour Creissels, tenter de faire la ballade en barque des bateliers du Viaduc. Quelques années auparavant nous avions apprécié celle des bateliers de la Malène, on varie les plaisirs. Le village en lui même est magnifique avec ses rus qui rafraichissent les potagers du village, son ancien lavoir, ses canaux peuplés de cygnes et cols verts. L’homme angoisse quant aux réactions du marsupilami, je reste zen, comme d’hab. Un couple et leur petite fille nous attend dans une barque fond plat 6 places sans compter le batelier. Le banc de devant nous est alloué ça tombe bien, le Mogwai aura de la place si par extraordinaire il se transforme en Gremlins dans les rapides. En fait, ni les canards croisés en route, ni les secousses des (mini) rapides n’ont raison de sa sagesse. Je ne reconnais pas mon boubou. La petite fille n’a d’yeux que pour lui et il se laisse calmement approcher, caresser, bizouiller, sans sauter ni griffer, un modèle de chien. L’eau du Tarn doit avoir des vertus thérapeutiques méconnues ! Après le déjeuner une promenade de 75 minutes sous le soleil dans les chemins en bord de rivière suivie d’une halteau bord d’une plage permettant le jeu favori de Houba (rapport dans l’eau) nous permettent d’aborder confiants le retour à l’hôtel. Sauf que les Flamands qui regardaient Houba avec bienveillance ont un chien de chasse qui se met à jouer du cor flairant le congénère. Houba ne reste pas insensible à cette invitation aux vocalises le temps que je me rue sur la muselière et l’homme sur le verrouillage de la fenêtre . Ouf, retour au calme, mais si ces deux la se croisent au restau ou mieux sur le gazon, adieu chien modèle !…Vidéo |
Heureusement pour nous, la rencontre n’a pas eu lieu, et le moment de ces trois jours ou le marsupilami s’est montré vraiment incontrôlable, c’est lors de sa rencontre avec deux ânes. Pourtant habitué aux chevaux, Houba a été pris d’une panique similaire à celle rencontrée lorsque le juge de beauté à voulu lui regarder les quenottes. Les ânes n’étaient pas barbus pourtant, juste pourvus de grandes oreilles et de grands yeux doux. Et plus Houba grondait et se débattait dans l’espoir de partir loin de ces « monstres » plus les équidés s’approchaient curieux de sa réaction. A part cet incident et l’envahissement de notre lit au milieu de la nuit, l’expérience a été positive. Quant aux retrouvailles avec la mégère, nous les avons organisées en terrain neutre, au domaine de Restinclières : une grande ballade avec jeux dans le lez. Les deux compères ont reformé leur duo comme si de rien n’était. Et à la maison, notre lit est à l’étage, et l’étage c‘est zone interdite aux chiens ! |
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