Houba, Bouvier d’Appenzell, mardi 26 février

on-joue-avec-la-saucisse.JPGL’homme a paniqué deux fois cette semaine, la première quand j’ai du lui laisser les deux monstres toute une journée : résultat, il est allé acheter une dizaine de nouveaux jouets comme si cette abondance de nouveautés allait transformer le marsupilami et la mégère en peluches modèles.tout-ca.jpg Adieu rêve de séance de travail concentré suivi de la relaxation match de foot TV. Les peluches n’entendent pas jouer dehors si elles n’ont pas de spectateur/arbitre, et,  à l’intérieur ça discute beaucoup : …. « tu m’as piqué mon jouet préféré » « c’est MON lit » « tu viens jouer » « c’est MON bout de tapis, là » en mode jappement et grondement, douloureux pour les oreilles, et redoutable pour la patience qui n’est déjà pas le fort de l’Homme. beaux-profils.jpg La seconde fois, ma moitié, n’écoutant que son courage a décidé d’emmener seul promener les deux gladiateurs, pour être certain de les fatiguer un minimum. Le souci est qu’Houba commence à avoir un bon rappel, avec l’aide de Savana, et … avec les encouragements chantants dans les aigus de sa maîtresse, mais que la voix grave et sérieuse de l’homme  devenant tour à tour agacée puis menaçante et enfin angoissée, n’a pas du tout le même effet. Et j’aurais bien aimé assister à la course poursuite pour rattraper le marsupilami : l’homme tentant, sans y croire, de courir en sens inverse, puis se ravisant en pensant qu’il est en train d’agrandir l’écart, faisant demi tour … Houba courant de plus belle, trouvant le jeu très amusant… Quelle humeur le soir – je parle de ma moitié, parce que côté monstres poilus, c’est à qui me fera la fête la plus démonstrative, vive l’émulation !

assis-pas-bouger.JPGCôté éducation, une chute de moquette leur permet à tous les deux de travailler « en ligne » et surtout à Savana de perfectionner son « recule ».  Le petit prince noir ne voit toujours pas l’intérêt de la marche au pied, mais commence à « tenir le pas bouger » en position assise, et quoiqu’on lui demande « travaille » dans la joie, un Obélix  de bonne humeur, pourvou-qué-ça-dourre !

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