Houba, Bouvier d’Appenzell, samedi 26 janvier
Nous avons pesé Houba ce matin, enfin … approximativement car en l’absence de « pèse bébé » et avec le tempérament du marsupilami, l’aiguille de la balance ne s’est jamais arrêtée d’osciller. Donc dans les bras, je me pèse avec et sans, et je comprends pourquoi Houba devient difficile à immobiliser quand on le porte : 8 k7 à peu de chose près ! Hier nous sommes allés chez le vétérinaire acheter sa première pipette antipuces. Quand je dis nous, en fait Houba et Savana sont restés dans la voiture, pas question de mettre BB en contact avec les microbes qui doivent pulluler dans la salle d’attente. Ouf le voici à l’abri des parasites. Je ne le savais pas mais on peut traiter dès 8 semaines et plus de 2 kg. J’essaie de le brosser tous les deux jours bien qu’il n’en ait absolument pas besoin, juste pour l’habituer, mais c’est pas gagné.
Nous avons commencé à travailler au clicker et pipi dehors = click/croquette. Ça a l’air de marcher : je n’ai eu que trois fuites robinet sur tout la journée d’hier alors que des amis sont venus diner et que les émotions en général libèrent les vannes.
Houba est parvenu à squatter le panier de Savana avec le jeu, elle s’est faite rouler dans la farine ma harpie, c’est trop bien.
Ce matin, après le rituel, en route pour le club canin et l’école du chiot, tandis que Savana partait faire une belle ballade avec son maître car depuis l’arrivée du petit bonhomme, elle n’a pas sa dose. Descendu de la voiture, Houba n’en mène pas large les premières minutes : queue basse et tremblements, 10 minutes plus tard c’est « chouette plein de copains de toutes les tailles et de toutes les couleurs, on va pouvoir jouer à la bagarre » queue haute et bien enroulée (comme le marsupilami). Houba consent à montrer qu’il sait faire « assis » et marcher au pied quelques mètres mais l’envie de courir avec les copains l’emporte de loin sur celle de faire plaisir à la maîtresse. Marcher sur du plastique, s’asseoir sur des trucs bizarres et qui bougent en plus c’est sans problème. Et quand il s’agit de passer dans le « tunnel fantômes » il avance, pousse les morceaux de plastiques, de ficelles ou de moquettes qui lui barrent le chemin et/ou la vue sans se poser l’ombre d’une question. A tel point qu’il a l’air de se demander pourquoi il est complimenté. Brave petit Houba, je n’aurais pas adoré ramper dans le tunnel pour te stimuler comme ça a été le cas pour beaucoup. Le revers de ce caractère fort et indépendant c’est que quand il s’agit de faire un exercice de rappel, j’ai beau vocaliser, taper dans les mains en étant accroupie, Môssieur butine et m’ignore royalement. De retour à la maison, Savana et lui se font une super fête, la sieste de l’après midi est à la hauteur des activités de la matinée : ouf, du calme ! Savana en profite pour travailler quelques figures d’obérythmée (elle adore particulièrement être le centre de nos intérêts, ces temps-ci) et … il est 19h31 et on en est à zéro fuite aujourd’hui.
suite Houba, Bouvier d’Appenzell, 10ème jour
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