Houba, bouvier d’ Appenzell : lundi 10 mars 2014
Flash back sur les 2 semaines écoulées :
Le Vent et le soleil ont conjugué leurs efforts pour assécher les sols. Puis le vent s’est effacé, nous offrant des températures printanières dès les milieux de matinée, du coup plus d’excuses ou plutôt l’envie retrouvée et décuplée de s’entrainer. Le marsupilami ravi de son nouveau planning me fait penser au docteur who il se régénère de plus en plus vite. Plus il se dépense et plus il a d’énergie.
L’Espiguette devient notre terrain de jeu préféré : côté lagune pour jouer au frisbee, c’est venté mais tranquille, côté plage pour les sports aquatiques. Très peu de monde (hors vacances scolaires) en semaine et risque zéro côté bestiole urticante, à moins qu’une invasion de méduses ne vienne me faire mentir.
10 mars 2014-Portable Houba Bouvier d’Appenzell par f100003165446326
Aux Aresquiers nous avons fait notre dernière belle ballade quand il faisait encore frais, les nids sont tellement nombreux, qu’il n’est pas envisageable de courir le risque lépidoptère.
Un super dossier de l’inra sur le sujet :
Des files en lignes parallèles de ces chenilles processionnaires nous ont chassé de la Grande Motte, que nous avons fuit à grande foulée, la balle dans une main les « bonbons » de l’autre pour être certains que les compères allaient nous suivre plutôt que d’examiner de près ces drôles de processions. Heureusement le « mode footing » des maitres a le don d’être un aspirateur de chiens. Ils ne se sont aperçus de rien, OUF. Dans le bois de Maurin ou nous nous croyions a l’abri : bois de chênes essentiellement, l’homme a écrasé un mini file tandis que j’attirai les loulous au loin. La processionnaire du chêne existe http://www.chenilles-processionnaires.fr/chenille-processionnaire-du-chene.htm . Donc pour un temps, ce sera champs et plage.
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