Houba, Bouvier d’Appenzell, jour J suite

Nous réveillons Houba en « zone neutre » à proximité de la maison, et suivant les conseils, je le descend en premier de l’auto, en laisse,  et le confie à l’homme tandis que j’ouvre à Savana, et la descend à son tour : rencontre en terrain neutre, elle s’approche sans grogner ni hérisser le poil, et la , PATATRAS : Houba se met à grogner et aboyer comme un vrai chat sauvage, il tente de se faufiler sous la voiture et se rebelle quand je tente de l’attraper, du coup Savana, réagit …..Vite, retour dans la voiture. On s’attendait à tout sauf à ça, pourtant Houba vivait avec sa maman, son papa et une femelle Rott. adorable,  quel caractère ! A la maison Savana protège le territoire de son panier, elle grogne, il lui répond. Premier pas dans le jardin. Premiers pipis dehors, je tape dans mes mains, il me suit, Houba courre, Houba saute, Houba flaire partout et s’écroule dans son parc. Ce parc est une vraie trouvaille : il y a plus d’espace que dans la vari. Il pleurniche quelques minutes la première fois, puis s’endort. Le rythme devient : une heure de tranquillité-dodo, réveil = vite on le dépose dehors et il fait pipi, félicitations, on courre, on rentre, on joue, il s’écroule et ça recommence. Premier caca dehors sous les applaudissements du fan club.

Extinction des feux à 23 heures, après un dernier petit tour dehors, et, contre toute attente, le marsupilami fait sa nuit, jusque 6h20 du matin. Même pas eu besoin du « chiffon » imprégné de l’odeur de sa maman (au contraire, ça se passait tellement bien que nous n’avons pas eu envie de réveiller en lui des souvenirs apparemment vite oubliés.)

suite  Houba, Bouvier d’Appenzell, dimanche 20/01/13