Houba, Bouvier d’Appenzell, lundi 4 février
Nous avons reçu des nouvelles de deux des sœurs d’Houba, trop mignonnes : contre l’arbre Huska photo prise le 30 Janvier, entre les deux bancs Haneska le 3 février. J’imagine un rassemblement de la fratrie un des ces jours, ce serait super sympa.
Bon, côté chaussures, la passion s’est révélée éphémère. Les deux gros problèmes du moment sont les aboiements aigus et intempestifs et le fait qu’Houba se prenne pour une chèvre dans le jardin. 
Quand Savana ne veut pas jouer, lorsqu’elle lui interdit son périmètre de sécurité, lorsqu’un jouet lui résiste ou se coince sous un meuble, ou qu’il n’arrive pas à l’attraper, lorsque la gamelle n’est pas remplie assez vite, lorsqu’il court après Savana sans parvenir à la rattraper, si je le dispute gentiment (quand je suis vraiment en colère, il fait très bien la différence) Houba ABOIE, et là, je suis impuissante. Pas question d’écouter de la musique, ou une émission, encore moins d’avoir une conversation téléphonique. Va falloir que je trouve un truc. A propos de musique, nous avions remarqué, que la musique classique calmait Savana : si nous laissons la radio sur une fréquence grande musique pendant notre absence, au retour, la demoiselle sommeillait dans son panier ; alors que sans musique ou avec de la pop, elle nous attendait dehors, n’ayant perdu aucune occasion de montrer aux passants ou aux voisins qu’elle apprécierait qu’ils passent au large. Pas de jaloux : Houba a droit à « Radio classique » à la moindre occasion (la seule radio ou les animateurs ne parlent pas, ils susurrent) Est ce que cela va influer sur ses vocalises.
A l’école du chiot, Houba découvre son nouveau joujou : un furet « tug » qui fait pouet, pouet, il ne le lâche plus, super pour travailler le rappel et surtout la vitesse de rappel. Entre le cours, intense et la récréation avant et après, le marsupilami devrait bien dormir ce soir. suite Houba, Bouvier d’Appenzell, mercredi 6 février
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