Houba, bouvier d’Appenzell, rentrée J moins 3
On apprécie les quelques degrés de moins qu’affiche le thermomètre, et le phare insubmersible est un jouet qui fonctionne aussi dans les champs : il est suffisamment lourd pour permettre de l’envoyer loin il rebondit, ce qui permet aux athlètes poilus de repérer ou il est tombé. Bien qu’Houba améliore son sprint de jour en jour, la mégère en observatrice aguerrie parvient encore à rafler les deux joujoux une fois sur dix. |
Houba et Savana se fatiguent beaucoup plus vite que dans l’eau et nous sommes contraints d’instaurer des pauses obligatoires. Houba se pose dans la saladelle bleue pour dérouler une langue digne de Tex Avery.
Vivement la désertification des plages que nous puissions emmener le petit Prince et la belle à la mer et jouer avec eux dans les vagues. En attendant nous désertons les Aresquiers et le Lez (il n’a pas plu depuis trop longtemps) L’étang du Ponant reste la piscine favorite des 2 loulous. |
A la maison, les sabots de vache connaissent toujours un canin succès, à tel point que les frères ennemis * parviennent à faire coussin commun en grignotant.
ils se disputent souvent comme chien et chien : un jouet, un panier, la caresse du maître, mais organisent des séances de jeu déchainées plusieurs fois par jour. Parfois les grondements qui accompagnent ces délires sont terrifiants : j’imagine les voisins dressant l’oreille, persuadés qu’un carnage est en train d’avoir lieu. C’est juste leur manière de communiquer. La mégère râlant et grondant souvent, le marsu-quand-il-était-chiot a du s’approprier son langage. Ca promet pour la rentrée au Club Samedi : tout le monde va penser qu’Houba est une terreur alors que c’est un bisounours avec les congénères rencontrés en promenade. |
N’empêche, il me tarde de reprendre les cours et de voir si le Zebulon a plaisir à retrouver le Club canin !Suite Houba, bouvier d’Appenzell jeudi 12 septembre |
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