Houba, bouvier d’Appenzell, dimanche 1er décembre
Ce matin notre terrain de jeu préféré retentissait d’aboiements excités et de pétarades inquiétantes, nous avons donc suivi un nouveau sentier, loin des chasseurs, côté Vidourle. Une très jolie promenade qui réunissait tous les plaisirs des loulous : des pistes et des terriers de lapins pour flairer, des étendues pour galoper, de l’eau pour jouer et nager, du sable pour les galipettes.
De quoi bien clôturer une semaine active pour le marsupilami qui commence à se régaler en agility : il vocifère si son tour tarde trop à arriver, me grille le départ et fait trois fois le tunnel par pur plaisir. (j’ai dit QU’IL se régalait, pas qu’il me suivait au doigt et à l’œil) Jeudi c’était cours particulier de bonnes manières en présence de congénères. Le petit Prince noir progresse. La preuve, ce matin, sans harnais, pendant le ¼ d’heure où la laisse est obligatoire, mon épaule est restée tranquille, humérus et omoplate en place. Mardi nouvelle séance dans la foule. Il faut que je m’imprègne de l’excellent article de canissimo, conseillé par mon mentor : accepter l’erreur pour éviter l’échec (http://www.canissimo.fr/chouette-jma-trompe-ou-accepter-lerreur-pour-eviter-lechec-3382)
Sinon l’Appenzell est un super gardien ! En prévision de températures encore plus négatives, nous avons emmailloté quelques arbres au jardin ; lorsque Houba a découvert les silhouettes fantomatiques, il a actionné la sirène d’alarme et mis tous les voisins à la fenêtre. Rebelote il y a deux nuits, le vent s’étant levé, une des poubelles de végétaux s’était envolée et avait roulé dans la haie, Houba nous a rejoué la scène du Sarrazin dans les visiteurs. En fait, Houba, c’est Monk il ne supporte pas qu’on déplace les objets J
j’adore la 1ère photo où on ne sait pas si c’est une murène ou un chien…tant qu’on n’entend pas!
Si vous progressez tant meiux, mais ce sera toujours à garder en mijotage sur le feu, les bonnes manières se dilluant plus vite que les bonnes.lol
Côté sirène c’est pas le chant mélodieux qui attire, ce serait plutôt un chant qui repousse, il croyait arriver à faire fuir les « fantômes » entourant ses arbres à lui…