Houba, bouvier d’Appenzell, et les grandes vacances suite
Etangs et rivière, sont les promenades préférées du Petit Prince et de la Mégère qui ne se lassent pas du rapport du phare insubmersible. C’est à qui aboiera le plus fort et fera les bonds les plus hauts (Houba grand vainqueur) en attendant le lancer du maître Le premier joujou lancé est pour la miss, le cadet respecte la hiérarchie. Parfois ce jeune foufou ne voit pas l’amerrissage du second lancer, au grand bonheur de la chipie qui rapporte les deux objets et invite le jeunot à une course poursuite. Savana qui ne « rapportait » jamais, progresse au contact du boubou (et aussi sans doute car presque tous les soirs, j’organise une séance collective « baballe »). Le vice de la chipie est de ramener le phare flottant jusqu’à un mètre du bord, ou encore dans la vase, zones qu’elle a identifiées comme inaccessibles pour les maitres qui n’ont pas envie de mouiller ou de « pourrir » leurs baskets. Mais le petit Prince rapporte joyeusement son jouet et celui de la belle, car il VEUT jouer.
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Le binôme est bon pour les Olympiades : Savana championne de la recherche lointaine et d’endurance en natation, Houba vainqueur du rapport au pied. Au début, le rinçage obligatoire du retour ressemblait à une bataille, pas rangée du tout, de laquelle je ressortais vainqueur mais aussi trempée que le marsuado. Grace à Savana qui vient spontanément se prêter au jeu la queue basse vite redevenue fouet joyeux dès que le « voilà » est prononcé, Houba se laisse faire maintenant, tenu en laisse mais tout juste. Les serviettes deviennent inutiles elles aussi : une fois rincés les 2 compères entament une course poursuite sur le gazon avec force « rouler bouler » au soleil. Quart d’heure de foufous et les voilà rafraichis mais essorés, prêts à croquer leur brosse à dent avant de savourer un farniente à la Pagnol (ombre et courant d’air). Houba ne fait plus de pellicules, peut être que je ne le contrarie pas assez suite Houba, bouvier d’Appenzell sous le charme |
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