Houba, Bouvier d’Appenzell, dimanche 14 avril 2013

  Au Grau du Roi, la « prairie » sauvage est couverte de petites fleurs, c’est magnifique, grâce, en partie, au crottin tant aimé des loulous, mais, moins rigolo, les moucherons, mouches piqueuses et moustiques font leur apparition. On n’a pas encore inventé les scalibors pour nous pauvres 2 pattes, sauve qui peut !

Samedi, peu de monde au club canin : beaucoup d’inscrits au concours d’agility de Dardaillon. Du coup Houba gagne le droit de travailler avec la grande prêtresse : vrais sauts (barre tout en bas) et vrai tunnel ; des enchainements et un peu de « pas bouger » devant un saut. Jacky jongle entre le cours pré-compet et nous. Le marsuchiot est heureux, du coup, entre deux, il reste bien fixé sur moi. L’après midi nous allons jouer les supporters à Lunel, nous emmenons le petit prince noir, histoire de le familiariser avec les ambiances concours. Aucun problème pour lui, ni la foule, ni le bruit, ni les aboiements ne le perturbent le moins du monde, par contre j’ai beaucoup de mal à profiter du passage des copines, Houba tire de toutes ses forces (et il en a !) pour aller renifler chiens et maîtres. Malheur à qui se met accroupi à portée de laisse.

Aujourd’hui Tiff nous apprend à passer trois sauts, enchainer un saut avec le tunnel le plus long du club entièrement déplié.

En guise de pause, c’est une séance de « 2 on 2 off » (les 2 pattes postérieures sur une planche, les 2 antérieures au sol, le but étant que plus tard le chien marque la zone sur les agrès) et puis, au final, le slalom couloir.

Toute la séance vise à rechercher la vitesse, toujours dans le jeu. De retour à la maison, Houba ne sollicite pas Savana, ne lui dispute même pas son transat au soleil, il attend sagement l’heure de la gamelle et s’écroule sur le dos, pattes en l’air dans son panier.

suite  Houba, Bouvier d’Appenzell, 5 mois, déjà !