Houba, Bouvier d’Appenzell, premières angoisses
Seconde nuit agitée : Houba sonne le clairon entre 3 et 4 heures du mat et impossible de lui en vouloir : il a des vidanges urgentes. Avec ma pile électrique, en pyjama, sabots de jardin aux pieds, écharpe en guise de bonnet, j’imagine la tête d’un voisin insomniaque devant le tableau. La pile, c’est pour inspecter qualité et quantité de ce qui a perturbé le sommeil de mon boubou et qui va perturber le mien, maintenant que j’ai vu… Vétérinaire dès l’ouverture, tout ça ne me plait vraiment pas, les copines ont beau m’assurer que c’est très courant (sans jeu de mots,) j’ai l’estomac qui fait du yoyo. 6 heures du mat, le réveil, l’homme a des rendez vous, et moi je dispose de trois heures pour nourrir et fatiguer le ouistiti, déjeuner, redonner à la maison un air de « sweet home » (parce que là c’est plutôt la maison des deux petits cochons, après le souffle du loup) et me préparer. Voilà, rien de grave, mais le marsupilami est sous antibiotiques – décidemment pas de jaloux – et interdit de jardin autrement qu’en longe ou sous une surveillance digne des quartiers de haute sécurité. On va rigoler …
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